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Hélène a reçu un baccalauréat en droit avec mention d'excellence de l'Université de Sherbrooke. Elle a fait son stage à la Cour d'appel fédérale en tant qu'auxiliaire juridique auprès de l'honorable juge Marc Nadon et elle a été récemment admise au Barreau du Québec.
En octobre 2008, Hélène entreprendra une maîtrise en droit (LL.M.) à l'Université de Cambridge, où elle entend se spécialiser en droit international public et se concentrer en particulier sur les enjeux juridiques environnementaux. Au cours de ses études de premier cycle, elle a représenté sa faculté de droit au Concours de procès simulé en droit international Charles Rousseau, qui s'est déroulé en mai 2006 à Tunis, en Tunisie. Durant les étés 2003 et 2004, Hélène a coordonné, aux côtés de personnes originaires de divers pays, plusieurs projets axés sur la préservation de l'environnement de communautés locales en Espagne et en Italie.
Tout au long de ses études de droit, Hélène a également été très impliquée dans la vie de sa faculté. Elle a
entre autres occupé les postes d'assistante de recherche auprès des professeurs Nathalie Vézina et Pierre François Mercure,
d'auxiliaire à l'enseignement de la recherche en droit, ou encore de bénévole et de responsable du Centre d'entraide à l'étude.
à l'issue du programme de maîtrise en droit de l'Université de Cambridge, Hélène compte entreprendre des études de doctorat en droit international de l'environnement et de faire carrière dans l'enseignement.
Mon expérience à l'Université de Cambridge fut vraiment exceptionnelle. J'ai eu le privilège d'étudier dans un des programmes les plus formateur pour les étudiants intéressés par le droit international. Par l'entremise du programme de LL.M., j'ai acquis une formation académique solide afin de poursuivre mes présentes études doctorales. J'ai eu la chance de travailler sous la supervision de l'éminent professeur Martti Koskenmiemi et d'écrire une thèse sur la question de savoir si les états devraient adopter un traité de l'Arctique pour combattre les changements climatiques.
Je fus étonnée de constater comment les éminents professeurs étaient très accessibles et de comment l'Université de Cambridge a réussie à créer une communauté intellectuelle dès plus stimulante entre étudiants et professeurs. J'ai particulièrement apprécié les conférences hebdomadaires tenues au Lauterpacht Centre for International Law. Que ce soit lors des traditionnels «Formal Halls» ou d'autres événements sociaux, il y avait toujours des occasions pour discuter et débattre de mes opinions sur des questions de droit international.
J'ai aussi eu la chance de rencontrer et de me lier d'amitié avec des collègues de classe provenant de milieu et de pays divers. De plus, j'ai pratiqué l'aviron, le «punt» et dévalé à vélo beau temps mauvais temps les rues médiévales, les nombreux espaces verts et les ponts de Cambridge.
Je remercie grandement l'Institut canadien d'études juridiques supérieures pour m'avoir donné les ressources financiers nécessaires pour bénéficier de cette expérience inestimable.
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